Une Soirée Entre Amis Une Infirmière En Beauce 12
Une soirée entre amis Une infirmière en Beauce 12
Ce récit est en partie inspiré de la vie conjugale de GALONA devenu GALONA BIS (auteur chez HDS), racontée à VIEULOU au fil de leur correspondance.
Bien entendu ce texte a été corrigé et validé par GALONA et les noms, professions et lieux ont été changés.
Après avoir passé la journée à Paris et avoir écumé les magasins et boutique sexys, ainsi quun sex-shop, Valérie et Hervé se retrouvent en gare Montparnasse pour rentrer chez eux. Après une première exhibition devant des lycéens dans un wagon désert qui attend son départ pour Chartres ; le couple se retrouve dans le parking à larrivée pour récupérer leur automobile, dans laquelle il se livre à une séance de fellation et de cunnilingus débridée.
De retour au Coudray, ils garent le monospace, se gardant bien de sortir les achats frivoles de cette journée. Ils veulent éviter les questions gênantes de leur fille Pauline quelle ne manquerait pas de poser devant les achats des vêtements osés que sa mère a choisi. Bien entendu, les emplettes du sex-shop sont soigneusement dissimulées dans lattaché case dHervé qui compte bien en essayer un dans la nuit.
Trois jours après cette journée à Paris, Hervé et Valérie sont invités chez des amis proches, Henri et Justine un couple plus jeune queux dune quinzaine dannées. Henri est un bel homme athlétique dun mètre quatre-vingts et dune blondeur naturelle le faisant ressembler à un Viking du Nord de lEurope ; il est professeur déducation physique au lycée que fréquente Pauline.
Justine est une jeune femme un peu ronde, de taille moyenne avec une poitrine généreuse, à la chevelure rousse et bouclée et dont le visage plein de taches de rousseurs la fait ressembler à « Marlène Jobert ». Justine tient une petite librairie dans le vieux Chartres piétonnier, à deux pas de son domicile. Cest dailleurs à cet endroit que les deux femmes se sont connues, car Valérie y va pour y acheter ses livres.
Sans quHervé le lui demande, Valérie a mis une jupe grise un peu courte (presque quinze centimètres au-dessus du genou) et pour la circonstance elle ose sharnacher du portejarretelles noir, avec des bas fumés transparents. Un top gris clair sans décolleté pour ne pas être trop provocante. Hervé nen revient pas, ne pouvant sempêcher de lui dire :
Je te trouve très belle et très sexy mon amour
Valérie qui a eu beaucoup de mal à se décider à shabiller dune façon si osée, est embarrassée par la réflexion de son mari, elle répond gentiment :
Tu es un véritable obsédé mon chéri
Une fois arrivés chez leurs amis, ils prennent lapéritif dans le salon. Lorsque Valérie sassoit dans le canapé, Henri laisse traîner ses yeux plus dune fois sur le compas des jambes entrouvertes. Hervé est comme Henri en face des deux femmes, il remarque que lon distingue très bien chez Valérie lattache des jarretelles et la peau nue au-dessus des bas, bien que la culotte noire et la dentelle du porte-jarretelles se confondent dans lombre de la jupe. Cest hautement érotique et heureusement que Justine est assise à côté de Valérie qui ne saperçoit de rien.
Dailleurs Justine, en jeune femme moderne est aussi agréable à regarder. Sa forte poitrine se distingue bien au travers du corsage transparent qui laisse apercevoir le soutien-gorge blanc quelle porte dessous. Sa jupe, plus courte que celle de Valérie, ne cache pas ses jambes gainées de soie blanche dont la lisière des Dim up découvre une chair très pâle jusquau string de satin blanc qui laisse séchapper quelques poils follets dun roux prononcé.
Les yeux des deux hommes ne peuvent se détacher de ce que leur offre leur concubine dans une espèce de naïveté de bon aloi ; chacun contemplant bien entendu les cuisses découvertes de la femme de lautre.
Dailleurs Hervé et Henri se sont souri en se rendant compte quils regardaient la même chose. Pourtant il nosent en faire plus, même sils en ont chacun une forte envie. Hervé est tout de même très heureux que son épouse veuille bien shabiller comme il le souhaite depuis si longtemps. Il espère quelle se laissera convaincre doffrir ses charmes à la vue des voyeurs occasionnels qui pourraient se présenter.
Lorsquils reprennent leur voiture pour rentrer au Coudray, Valérie boude un peu, néprouvant pas le besoin de sexprimer sur leur soirée. Hervé se décide à détendre latmosphère un peu lourde qui sest installée entre eux.
Charmante soirée tu ne trouves pas ma chérie ? Nous devrions les rencontrer plus souvent
Bien sûr pour que tu puisses mater sous les jupes de mon amie tu crois que je nai pas remarqué ton regard braqué sur les cuisses de Justine ?
Ah ! mais je nétais pas le seul, Henri ne sest pas gêné pour reluquer la nudité de tes cuisses au-dessus de tes bas il pouvait se régaler en voyant même ta culotte - dailleurs la prochaine fois, nen mets pas, il pourra bander encore plus que ce soir.
Tu es un véritable pervers, je taccorde quelques privautés et bientôt tu vas me demander de coucher avec Henri.
Tu pourrais trouver plus moche ma chérie tu as vu comment il est bâti ! Oui, cela ne me déplairait pas de pouvoir te contempler te faire baiser par notre ami tu sais bien que cest ce que jespère de toi.
Oui et toi tu iras baiser Justine, cest cela que tu veux ?
Hervé pense quil est temps de calmer le jeu.
Non mon amour je la trouve mignonne avec de gros nichons, mais je ne veux pas te tromper, cest toi que jaime. Je veux seulement te voir jouir dans les bras dautres hommes tu le sais et Cédric et Paul tont prouvé que tu pouvais avoir encore beaucoup plus de plaisir quavec moi.
À cette évocation, Valérie se sent fautive et se blottit près de son mari qui conduit le monospace de la main gauche, lautre main se faufilant entre les cuisses découvertes de son épouse qui ne fait aucune difficulté pour les écarter. Il glisse un doigt sous la culotte touchant dans linstant la chair de la vulve quil trouve humide à souhaits. Il lui suggère alors.
Tu es bien mouillée en pensant quHenri pourrait enfoncer sa queue dans ton petit conin ma petite salope adorée dépêche-toi de retirer cette culotte qui mempêche denfouir mes doigts dans ta chatte baveuse.
Valérie, bouleversée par les mots triviaux et par leur conversation par trop libidineuse, se prête aussitôt aux exigences maritales et ôte dun seul mouvement le seul rempart à sa pudeur.
Hervé se penche vers le siège de sa femme et actionne la manette pour baisser le dossier ; il lui ordonne.
Retrousse-toi, écarte grand tes cuisses et masturbe-toi jusquà lorgasme
La pauvre mature se plie à la volonté de son mari, retroussant dune main le peu de tissu de sa jupe courte et de lautre elle triture ses grandes lèvres et frotte le capuchon du clitoris, gémissant du bonheur quelle se donne.
Tout à coup, en pleine circulation de nuit sur le boulevard circulaire, Hervé se trouve à la hauteur dun bus quil a du mal à doubler. Lautocar est plein de supporters dun club de football qui hilares ont une vue imprenable sur la femme en pleine action de branlage, la moitié nue de son corps depuis le nombril étant exposée sous la lumière des projecteurs puissants du boulevard.
Valérie, retenue par la ceinture de sécurité qui la plaque contre le dossier ne peut se redresser, elle ne peut que fermer les yeux pour ne pas voir toutes les têtes qui la reluquent avec fortes gesticulations et mots étouffés par les vitres des deux véhicules et le bruit de la circulation. Hervé se décide à changer de vitesse et il accélère pour doubler le bus et mettre de la distance entre eux.
En approchant du Coudray, il bifurque sur un chemin de terre qui longe un bois communal et il arrête son véhicule dans un renfoncement hors de vue de la route goudronnée. Sortant du vide-poche un sac en plastique opaque, il en extrait le gros gode acheté au sex-shop et ouvrant la portière passager, il lapplique sur la vulve maritale avant que Valérie ait le temps de protester.
Dailleurs elle serait bien en peine de bouger, toujours attachée par la ceinture et en position couchée. Bientôt elle halète sous les vibrations de la fausse-verge qui aiguillonne ses parties les plus intimes. Et lorsque son mari entreprend de lui forcer lengin entre ses grandes lèvres bavantes de mouille, surexcitée comme elle lest, lolisbos, malgré sa taille XXL senfonce comme dans du beurre dans le vagin inondé. Hervé pistonne à fond le vibromasseur faisant hurler de bonheur une Valérie complètement déchainée sous les ondes de jouissance qui la laissent anéantie et presque morte dextase
À suivre
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!